sábado, 31 de octubre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - Mini Transat îles de Guadeloupe Etape 2 Ils sont partis !



Mini Transat îles de Guadeloupe
Etape 2
Ils sont partis !

  • Bon départ pour la flotte des 63 solitaires en route pour la Guadeloupe
  • Julien Pulvé (Novintiss – S 880) a pris le meilleur départ
  • Des conditions musclées pour débuter
C’est par un vent soutenu de nord-est et une mer agitée que les concurrents de la Mini Transat îles de Guadeloupe se sont élancés à l’assaut de l’Atlantique. Pour la plupart, les concurrents ont préféré jouer la prudence, compte tenu des conditions météo (vent de 25 nœuds en moyenne) et du fait que les bateaux étaient chargés pour traverser l’Atlantique. Sur les pontons avant le départ, l’émotion était palpable.
Départ 2e étape de Lanzarote © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Les dernières minutes à terre ne sont jamais très simples pour les navigateurs solitaires. Tous sont partagés entre l’envie d’en découdre au plus vite et ce mélange d’appréhension et de légère culpabilité de laisser leurs proches à quai. Pudiques ou expansifs, chacun à sa manière, essayait d’évacuer la difficulté de ce moment pour pouvoir se concentrer sur sa course.

Jean-Baptiste Daramy (Chocolats Paries)
« Ça fait du bien de partir, j’avais hâte. Je ne sais pas encore quelle toile je vais mettre, il va falloir être prudent pour les premières heures de course. »

Vincent Grison (Roll My Chicken)
« J’ai regardé sur le site de la Transat Jacques Vabre, on a des chances de croiser la route des Class40. Ce serait amusant que je croise Sam Manuard qui est l’architecte de mon bateau, on aurait de quoi causer sur l’Atlantique. »

Ian Lipinski (Entreprises Innovantes)
« Ça va, je me sens bien. J’ai un peu de marge, ça devrait me permettre de faire un départ prudent. Ce qui est certain, c’est que si des gars attaquent pied au plancher je ne vais pas prendre le risque de les suivre et de casser. »

Davy Beaudart (Flexirub)
« Ça va, tout est prêt. Il y a forcément un peu plus de tension parce que traverser l’Atlantique, ce n’est pas anodin. Je vais surtout essayer de naviguer proprement, c’est le meilleur moyen de se faire plaisir. »

Victor Turpin (Générations Océan)
“Je suis quand même un peu stressé, ça doit se voir sur mon visage. Mais j’ai hâte d’y aller. On va avoir pas mal de vent pour les premiers jours et je sais qu'il va falloir aller vite, parce que les autres ils vont partir vite. Que faut-il faire, foncer ou préserver le bateau ? On verra”.

Nikki Curwen (Go Ape! Live Life Adventurously)
« Je suis un peu stressée, mais excitée à l’idée de traverser l’Atlantique. Il faut y aller maintenant. Ça fait trois ans que j’en rêve… »

Yury Firsov (Magnum Sport)
“Je me sens bien, je suis prêt à partir. La météo est bonne, tout est paré. Je vais faire du sud comme tout le monde avant de mettre cap à l’ouest ”.

Chris Lukerman (CA Technologies)
“Ça va. Je suis un peu nerveux à cause du vent qui est fort pour les premières heures de course. Mais il est vraiment temps d’y aller. On va pouvoir faire de la glisse comme on espérait.”.

Jan Heinze (Lonestar)
“Je suis content de partir après toutes ces journées passées à terre et le nombre d’années pour préparer ce projet. Je suis fier d’être là. Il y a mon père, mon coach qui sont là, mais le reste de ma famille viendra plutôt en Guadeloupe. »

Davy Beaudart et Jean-Baptiste Daramy © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Julien Pulvé S 880 Novintiss © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Nikki Curwen et Lizzy Foreman © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Jan Heinze S 613 Lonestar © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015


CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 63 concurrents encore en course pour la 2e étape
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Douanenez -> Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Doaurnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre
- Au total, les marins passeront 28 jours / 4 semaines de mer en solitaire

Note aux rédacteurs
La Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 : Pour sa 20e édition et pour la deuxième fois consécutive, la Mini Transat revient à ses origines avec un départ de Douarnenez. Le port cornouaillais verra s’élancer la flotte des 72 solitaires le 19 septembre vers Lanzarote où les Mini 650 feront escale avant de partir le 31 octobre à l’assaut de l’Atlantique. Après un peu moins de trois semaines de mer, les navigateurs couperont la ligne d’arrivée de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 à Pointe-à-Pitre où la douceur des Caraïbes les attendra. Sur le plus petit bateau de course au large au monde, le talent de chacun des skippers saura s’exprimer sur les 2 700 milles nautiques (4 345 kilomètres) qui les séparent des Antilles. En solitaire, chaque participant devra trouver les ressources morales pour vivre cette aventure unique : une traversée de l’Atlantique dans un espace réduit et un inconfort total où seul compte le face à face avec soi-même


LIGA MARÍTIMA ESPAÑOLA - Mini Transat îles de Guadeloupe Etape 2, J-1 Départ reporté d’une heure et changement de parcours


Mini Transat îles de Guadeloupe
Etape 2, J-1

Départ reporté d’une heure et changement de parcours

  • Le départ reporté à 14h (heure de Paris), soit 13h TU
  • L’île de Fuerteventura sera marque de parcours à laisser à tribord

Les skippers de la Mini Transat îles de Guadeloupe vont gagner une heure de sommeil demain matin. En effet, le départ de la deuxième étape, initialement prévu à 13h, est reporté d’une heure. Météo et mouvements portuaires justifient cette décision.

Un mouvement de ferry à 11h (locales), à l’heure où sortaient les Minis pour rejoindre la zone de départ a contraint les organisateurs de l’épreuve à modifier l’heure de départ. L’occasion faisant le larron, la direction de course a préféré retarder d’une heure la mise en mouvement des équipages permettant ainsi à un front froid attendu en fin de matinée sur zone de s’évacuer.

Par ailleurs, la flotte devra laisser l’île de Fuerteventura à tribord en partant de Lanzarote. Les conditions météo soutenues, pour la première nuit après le départ, ont incité la direction de course à proposer ce changement de parcours qui limite les passages entre les îles et les éventuels effets venturi qui peuvent être particulièrement brutaux, surtout la nuit.



CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 63 concurrents encore en course pour la 2e étape
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Douanenez -> Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Doaurnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre
- Au total, les marins passeront 28 jours / 4 semaines de mer en solitaire

Note aux rédacteurs
La Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 : Pour sa 20e édition et pour la deuxième fois consécutive, la Mini Transat revient à ses origines avec un départ de Douarnenez. Le port cornouaillais verra s’élancer la flotte des 72 solitaires le 19 septembre vers Lanzarote où les Mini 650 feront escale avant de partir le 31 octobre à l’assaut de l’Atlantique. Après un peu moins de trois semaines de mer, les navigateurs couperont la ligne d’arrivée de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 à Pointe-à-Pitre où la douceur des Caraïbes les attendra. Sur le plus petit bateau de course au large au monde, le talent de chacun des skippers saura s’exprimer sur les 2 700 milles nautiques (4 345 kilomètres) qui les séparent des Antilles. En solitaire, chaque participant devra trouver les ressources morales pour vivre cette aventure unique : une traversée de l’Atlantique dans un espace réduit et un inconfort total où seul compte le face à face avec soi-même.


Mini Transat îles de Guadeloupe
LIGA MARITIMA ESPAÑOLA
AESLIN -FELAN

LIGA MARÍTIMA ESPAÑOLA - Mini Transat îles de Guadeloupe Etape 2, J-1 : Hautes pressions



Mini Transat îles de Guadeloupe
Etape 2, J-1 : Hautes pressions
  • Les routages tournent en boucle
  • Des conditions idéales de navigation pour les premiers jours
  • Une tension de plus en plus prégnante

A quelques heures du départ de la deuxième étape, la pression monte sur les pontons de Lanzarote. Suivant leurs caractères, les coureurs cherchent à évacuer le stress inévitable à l’heure de traverser l’Atlantique. Même si les conditions météo générales sont optimales, chacun sait que nul n’est à l’abri d’un pépin technique, que la route est longue et qu’il va falloir éviter les coups durs et les coups de mou.
Victor Turpin © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
C’est la frénésie informatique autour du PC Course de la Mini Transat îles de Guadeloupe. Penchés sur les fichiers météo, les coureurs n’en peuvent plus de faire tourner des simulations de routage, d’échafauder des plans sur la comète de recueillir les conseils des routeurs, des gourous, voire de glaner une information plus ou moins confidentielle. Tenter d’introduire un peu de rationalité est un excellent moyen d’exorciser ses peurs et ses doutes. Parfois certains lâchent la bonde, ne supportent plus trop bien l’attente. C’est le moment de se recentrer sur des tâches très basiques, de partir faire de l’exercice physique pour se laver des sensations parasites. Bien évidemment, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne : la zénitude est un art qui se travaille, mais c’est aussi une prédisposition plus ou moins acquise.
Avant le départ de Douarnenez, la pression était forcément considérable pour de nombreux coureurs : au départ de la course, pratiquement tous les coureurs étaient entourés de leurs amis, des proches, de leurs partenaires pour les plus chanceux d’entre eux. Pour tous les bizuths de l’Atlantique, cette première étape était un véritable saut dans l’inconnu. Au départ de Lanzarote, la donne a légèrement changé : tous ont déjà l’expérience de la première étape, le break de quelques semaines a permis à nombre de coureurs de prendre du recul et les sollicitations des proches sont moins prenantes. Il reste que traverser l’Atlantique n’est jamais anodin : sans pression excessive, la concentration reste de mise.
Ils ne seront finalement que 63 coureurs au départ de cette deuxième étape : l’Estonien Jaanus Tame a dû renoncer à prendre le départ de cette deuxième étape pour raisons personnelles.

L’alizé au rendez-vous de la première semaine
25 à 30 nœuds, plus parfois par effet venturi entre les îles, le début de course promet d’être musclé. Aux allures portantes, les conditions sont parfaitement maniables, mais devraient favoriser les as du pilotage, ceux qui sont capables de jouer les équilibristes, de trouver le bon équilibre entre les feux de la machine à pousser et la zone rouge à ne pas franchir. L’exercice sera d’autant plus délicat que les Minis partiront avec une légère surcharge pondérale : en moyenne 25 à 30 kg de nourriture, plus quelque 80 à 120 litres d’eau suivant les skippers. La gestion de l’eau est une sorte d’hymne au bon sens : il faut intégrer certains paramètres comme le temps de traversée supposée, les besoins quotidiens et la réserve nécessaire en cas d’avarie. Au départ de Lanzarote, les Minis auront vu leur poids augmenter de 15% en moyenne : les efforts sur le gréement, les safrans en sont d’autant plus importants et les risques de casse réels en cas de départ en vrac.
Au vu de la situation météo, certains évoquent des temps records pour la grande traversée. Mais il est toujours compliqué de tirer des plans sur la comète quand les échéances météo dépassent les dix jours. Seule quasi certitude, l’anticyclone des Açores devrait s’effondrer d’ici quelques jours et provoquer une rupture d’alizé, tout au moins le long de l’orthodromie. Gagner dans le sud sera nécessaire, mais de combien ? Il faudra être malin, interpréter les variations du vent, les couvertures nuageuses, surveiller le baromètre. Celui qui saura le mieux tirer la quintessence de tous ces signes a de grandes chances de décrocher la timbale à Pointe-à-Pitre.


Comment suivre le départ de Lanzarote ?
Départ prévu demain samedi 31 octobre à 13 heure (heure française) soit 12 heures locales. Analyses et déroulé du départ sur le compte Facebook Mini Transat Iles de Guadeloupe et sur le compte twitter @MiniTransat 2015 et #MiniTransat2015.

Ils ont dit :
Renaud Mary, Président de la Classe Mini
« On reste dans les quotas habituels : près de 80% des participants à la course sont des amateurs pour près de 20% de néo-professionnels. Ce qui m’a frappé, c’est que beaucoup de coureurs ont échangé nombre d’informations entre eux. Je pense que pour beaucoup, il fallait évacuer l’appréhension née de la dernière édition. Vu les conditions parfaites que les concurrents ont rencontrées et qu’ils risquent encore de trouver lors de la deuxième étape, je ne doute pas que nous ferons de nouveau le plein en 2017. »

Destination les îles de Guadeloupe
Baignées par l’alizé, les îles de Guadeloupe sont un paradis pour la navigation, quand en métropole il faut subir les rigueurs de l’hiver. Outre la marina du Gosier point de départ de nombreuses bases de location, les îles offrent un dépaysement inattendu de Marie-Galante encore sauvage à la Désirade ou l’archipel des Saintes. La Guadeloupe possède aussi une tradition maritime vivace qui se perpétue lors des régates des Saintoises, ces canots traditionnels qui s’affrontent régulièrement au cours de régates acharnées. Plusieurs skippers guadeloupéens ont déjà participé à la Mini Transat, de Victor Jean-Noël à François Lamy en passant par les frères Thélier ou Luc Coquelin. La participation de Carl Chipotel vient perpétuer cette tradition. Nul doute que son arrivée sera fêtée avec faste de l’autre bord de l’Atlantique.

© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Renaud Mary, Président de la Classe Mini © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015



CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 63 concurrents encore en course pour la 2e étape
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Douanenez -> Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Doaurnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre
- Au total, les marins passeront 28 jours / 4 semaines de mer en solitaire

Note aux rédacteurs
La Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 : Pour sa 20e édition et pour la deuxième fois consécutive, la Mini Transat revient à ses origines avec un départ de Douarnenez. Le port cornouaillais verra s’élancer la flotte des 72 solitaires le 19 septembre vers Lanzarote où les Mini 650 feront escale avant de partir le 31 octobre à l’assaut de l’Atlantique. Après un peu moins de trois semaines de mer, les navigateurs couperont la ligne d’arrivée de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 à Pointe-à-Pitre où la douceur des Caraïbes les attendra. Sur le plus petit bateau de course au large au monde, le talent de chacun des skippers saura s’exprimer sur les 2 700 milles nautiques (4 345 kilomètres) qui les séparent des Antilles. En solitaire, chaque participant devra trouver les ressources morales pour vivre cette aventure unique : une traversée de l’Atlantique dans un espace réduit et un inconfort total où seul compte le face à face avec soi-même.

Mini Transat îles de Guadeloupe - Prensa
LIGA MARÍTIMA ESPAÑOLA
AESLIN - FELAN 

jueves, 29 de octubre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - Mini Transat îles de Guadeloupe Etape 2, J-2 : Un papillon dans la tête

Mini Transat îles de Guadeloupe
Etape 2, J-2 : Un papillon dans la tête
  • Fin des contrôles de sécurité
  • Les routages tournent en boucle
  • Les Minis se préparent à quitter Lanzarote

Petit à petit, l’esprit des solitaires de la Mini Transat îles de Guadeloupe se détache de Lanzarote pour se projeter vers la Guadeloupe, l’île papillon. Mais avant de toucher au but, il reste quand même un océan à traverser. Ça tombe bien, car c’est aussi pour cela qu’ils sont venus, pour cette aventure face à eux-mêmes, pour les journées qui s’enquillent loin du monde des terriens, pour la redécouverte des plaisirs élémentaires que procure la vie à bord d’un 6,50m lancé comme une balle sur l’Atlantique.
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Ce n’est pas encore l’effervescence sur les pontons, mais on sent que les Ministes ne sont déjà plus tout à fait à Lanzarote. Traverser l’Atlantique n’est pas une petite affaire et chacun s’interroge sur la route à suivre, sur les options : faut-il privilégier une route directe le long de l’orthodromie ou piquer plein sud vers l’autoroute des alizés ? Comme souvent, la vérité sera peut-être entre les deux. Mais en attendant, les solitaires consultent compulsivement les fichiers de vent, analysent les évolutions des anticyclones des Açores et des Bermudes, les deux principaux générateurs de l’alizé. Toutes ces belles hypothèses se heurtent malgré tout à un obstacle de taille : aucune prévision n’est aujourd’hui suffisamment fiable à l’échelle d’une traversée de l’Atlantique en un peu plus de deux semaines. Pour établir une stratégie sur les derniers jours de course, il ne reste que les statistiques des précédentes éditions et un peu d’intuition à défaut d’une boule de cristal.

La routine comme exutoire
A bord de leurs voiliers, les solitaires mettent la dernière main aux petits détails qui leur permettront de vivre sereinement cette deuxième étape. Contrôler le gréement, vérifier que chaque pièce est bien assurée, fixer solidement la balise de positionnement, calibrer les centrales électroniques, ranger le matériel en veillant à une juste répartition des poids, caréner en plongée, ce sont les petites tâches du quotidien qui permettent d’éviter la gamberge avant de se lancer dans le grand bain. Dans un peu moins de trois semaines pour les premiers, ce seront les saveurs tropicales, les effluves chargées d’épices de la Guadeloupe, le plaisir de retrouver les proches sur les pontons de la Marina Bas-du-Fort et cette satisfaction indicible de pouvoir se dire que l’on est parvenu au bout de son rêve. En Guadeloupe, on s’active pour accueillir dignement les concurrents, faire que l’accueil à l’arrivée soit à la hauteur du village de départ et de l’escale canarienne.
Hier, c’était le premier briefing où furent abordées les procédures de départ, rappelées les consignes de sécurité avant d’évoquer les conditions de navigation particulières dans l’archipel des Canaries. Les reliefs parfois imposants, conjugués à un alizé stable peuvent en effet provoquer des effets de couloir où le vent peut monter de plusieurs crans, les dévents des îles peuvent être importants sous le vent d’une montagne comme le Teide de Tenerife qui culmine à plus de 3700 mètres… A la suite de cet aperçu bref mais utile, Roland Ventura (Fondation Planiol) a opportunément rappelé que c’était l’anniversaire de Brigitte Fabre, jaugeur de l’épreuve, ponctué par un joli « joyeux anniversaire » choral de la part de tous les coureurs. Après l’effet venturi, l’effet Ventura.

Encadré : adios Lanzarote
Dans deux jours, les Minis auront quitté la Marina Lanzarote et les douceurs de la plus orientale des îles de l’archipel des Canaries. Ici, tous sont tombés sous le charme de l’île et de ses habitants, ont été séduits par l’attention qui leur a été portée en permanence. Ceux qui avaient fait le choix de rester sur l’île durant ces trois semaines ont pu apprécier son caractère authentique et préservé grâce à l’influence de Cesar Manrique, profiter des multiples opportunités de sport pleine nature. Il restera quelques moments forts comme la parade des Minis où les gamins du Real Club Nautico de Arrecife ont pu partager quelques instants le quotidien des solitaires, ou l’accueil chaleureux du personnel de la marina Lanzarote. Initié par la famille Calero, l’accueil des courses au large ou des équipes sportives comme les équipages de la Volvo Ocean Race en entraînement est devenu une des marques de fabrique de Lanzarote… et le meilleur moyen d’entretenir une relation stable et durable. Rendez-vous en 2017.

© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 64 concurrents encore en course pour la 2e étape
- 26 Mini 6.50 prototypes (classement Eurovia Cegelec) et 46 Mini 6.50 de série (Classement Ocean Bio-Actif)
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Douanenez -> Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Doaurnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre
- Au total, les marins passeront 28 jours / 4 semaines de mer en solitaire

Note aux rédacteurs
La Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 : Pour sa 20e édition et pour la deuxième fois consécutive, la Mini Transat revient à ses origines avec un départ de Douarnenez. Le port cornouaillais verra s’élancer la flotte des 72 solitaires le 19 septembre vers Lanzarote où les Mini 650 feront escale avant de partir le 31 octobre à l’assaut de l’Atlantique. Après un peu moins de trois semaines de mer, les navigateurs couperont la ligne d’arrivée de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 à Pointe-à-Pitre où la douceur des Caraïbes les attendra. Sur le plus petit bateau de course au large au monde, le talent de chacun des skippers saura s’exprimer sur les 2 700 milles nautiques (4 345 kilomètres) qui les séparent des Antilles. En solitaire, chaque participant devra trouver les ressources morales pour vivre cette aventure unique : une traversée de l’Atlantique dans un espace réduit et un inconfort total où seul compte le face à face avec soi-même.


Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA
AESLIN - FELAN

miércoles, 28 de octubre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - LOS REGATISTAS MOVISTAR, EN ABU DHABI PARA LA FINAL DE LA ISAF SAILING WORLD CUP


Iván Pastor en una imagen de archivo. © Laurens Morel

Iván Pastor, Florian Trittel y el tándem formado por Jordi Xammar y Joan Herp afrontan en aguas emiratís la última prueba del circuito mundial de la ISAF
 

Abu Dhabi, 28 de octubre de 2015

 Desde mañana jueves y hasta el próximo domingo Abu Dhabi acogerá la cita final de la ISAF Sailing World Cup, prueba en la que el Equipo Movistar estará representado por Iván Pastor en RS:X Masculino, Jordi Xammar y Joan Herp en 470 y Florian Trittel en la categoría Formula Kite. El objetivo: firmar una buena actuación que les permita estar en los puestos de cabeza desde la primera jornada de campeonato.
 
En total serán un máximo de 20 participantes en cada categoría los que se echarán al agua mañana para la primera jornada de regata. Todas y cada una de las tripulaciones en liza acuden a la cita por invitación en función de los resultados de la temporada en las citas anteriores de la ISAF Sailing World Cup, los resultados del Mundial de cada una de las clases y la posición en el ranking de la ISAF, por lo que no hay duda de que el nivel de la flota será el más alto de toda la temporada.

Iván Pastor, listo para la Final de la ISAF Sailing World Cup
Para el windsurfista Movistar Iván Pastor ésta será su penúltima cita de la temporada y también una de las más complicadas, y es que tras finalizar el Mundial de Omán hace sólo unos días el de Santa Pola apenas ha tenido tiempo para descansar. “Realmente llegamos todos muy cansados del Mundial, por una parte porque era la regata más importante del año y por otra porque ha sido una de las más duras en muchos años por las condiciones de poco viento y el gran número de mangas que se completaron”, explica Pastor.

Sea como sea el alicantino tiene claro que llega a la cita de Abu Dhabi dispuesto a dar su cien por cien y con la mirada puesta en el podio tal y como afirma: “El objetivo es como siempre llegar a la Medal Race con opciones de podio. Sé que no va a ser nada fácil pero espero estar ya recuperado tras el Mundial. La afrontaré día a día a ver cómo me voy sintiendo y, si me encuentro bien, intentaré luchar por la victoria”.

Para lograr su objetivo Iván Pastor y su tabla “Movistar” tendrán que enfrentarse a windsurfistas de la talla del griego Byron Kokkalanis, el brasileño Ricardo Santos o el británico Tom Squires, quienes no hay duda de que lucharán también por estar en lo más alto del podio final.

Joan Herp: “Vamos a afrontar cada manga como si fuese una Medal Race”
Quienes tampoco lo tendrán fácil serán los regatistas Movistar Jordi Xammar y Joan Herp en la categoría masculina de 470. 11 tripulaciones estarán en la línea de salida mañana jueves para luchar por la Gran Final del circuito mundial de la ISAF, pero Jordi y Joan tienen claro que no se lo pondrán nada fácil a sus rivales.

“La World Cup Final de Abu Dhabi es más una oportunidad que un verdadero objetivo. Tenemos la tranquilidad de haber hecho un buen Mundial, pero tenemos la intención de seguir en esta misma línea para terminar este ciclo con buen sabor de boca”, explica Herp y añade: “Será una regata con sólo 11 barcos pero todos con mucho nivel. Van a ser muy pocas pruebas y vamos a afrontar cada una como si fuese una Medal Race para llegar al último día con opciones de podio”.

Entre los inscritos destaca la presencia los bicampeones mundiales Mathew Belcher y William Ryan.

Florian Trittel, a por la victoria
Tampoco faltará a la cita el rider Movistar Florian Trittel, quien luchará por estar en el podio de la cita emiratí. Para ello, el regatista de Formula Kite ya lleva varios días entrenando en el campo de regatas en el que se disputarán las pruebas, y es que tras haber sido cuarto en la pasada edición esta vez el objetivo está fijado en el podio final.

“Me siento bien preparado y después de ganar la ISAF Sailing World Cup de Weymouth tengo fuerzas y ganas de luchar por el título de esta Final. Los representantes de Alemania y Gran Bretaña serán rivales muy difíciles, pero estar entre los dos primeros es mi objetivo principal para este campeonato”, afirma Trittel.

Cuatro días de competición
Al contrario que en el resto de pruebas de la ISAF Sailing World Cup -que se disputaban en cinco días de competición- en esta ocasión serán sólo cuatro jornadas de regata, por lo que no hay duda de que la Final de Abu Dhabi será la más disputada del circuito y no fallar será esencial para mantenerse en los puestos altos de la tabla.

Mañana jueves el Comité de Regatas dará el pistoletazo de salida para la primera jornada de clasificación y los participantes dispondrán de sólo tres días para pelear por un pase para la Medal Race, que se celebrará el sábado y será la encargada de definir el podio de la cita emiratí.

Jordi Xammar y Joan Herp durante el Mundial de 470 de Haifa (Israel).
© Ronen Topelberg/Aquazoom

 

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Florian Trittel en una imagen de archivo.
© Ben Welsh

martes, 27 de octubre de 2015

LIGA MARITIMA - Mini Transat îles de Guadeloupe Etape 2 J-4 Rudes Ibères

 Mini Transat îles de Guadeloupe
Etape 2 J-4
Rudes Ibères


  • Une présence espagnole qui s’organise sur la Mini Transat îles de Guadeloupe
  • De Fidel Turienzo à Nacho Postigo, la volonté d’être au départ de la deuxième étape
  • Un coach d’expérience, Anna Corbella

A quelques jours du départ de la deuxième étape de la Mini Transat îles de Guadeloupe, toute la flotte bascule progressivement en mode course. Pour certains, l’escale n’aura pas été vraiment une pause, à l’instar de Fidel Turienzo (Satanas) ou Nacho Postigo (Vamos Vamos).


Fidel Turienzo P 304 Satanas © Jacques Vapilllon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

A l’extrémité du ponton des prototypes, Fidel Turienzo continue de s’affairer. Pour le navigateur espagnol, l’escale à la Marina Lanzarote n’aura été qu’une longue course contre la montre pour être prêt à partir avec un nouveau mât.
Suite à son démâtage dans la première étape, Fidel a donc voulu mettre en place un nouvel espar pour remplacer son gréement fragilisé. Seul existe le mât aile qui équipait le 198, sistership du n°304 de Fidel. Qu’à cela ne tienne, voilà notre navigateur parti en Bretagne récupérer le sésame pour la deuxième étape : environ 24 heures de voyage jusqu’à Lorient l’amènent à bon port où s’organise la chaîne de solidarité des Minis. Après avoir récupéré le mât à Lorient, il passe à la Trinité sur Mer où est basé Sébastien Picault, propriétaire du mât, pour signer un acte de location. Par la même occasion, il fait un détour au chantier AMCO de Thierry Fagnent, maître dans l’art des composites, qui lui donne quelques conseils pour transformer son bateau, équipé initialement d’un mât classique. Le voyage se poursuit avec quelques escales, aux Sables d’Olonne pour récupérer les pesons du jaugeur, à La Rochelle pour échanger avec Iker Martinez dont il a été un des préparateurs techniques, avant d’arriver à Santander où il entreprend le travail de préparation de son mât. Une fois prêt, il faudra ensuite le convoyer jusqu’à Cadix où il sera embarqué à bord d’un ferry pour Lanzarote. Pendant ce temps, Fidel retourne à Madrid pour prendre un avion, le voyage étant moins cher qu’en bateau…
A Lanzarote, le navigateur espagnol récupère enfin son mât et le matériel et après une semaine de travail où il construit une nouvelle embase, modifie les points d’attache de son gréement, construit les renforts pour soutenir le mât-aile, il réalise sa première sortie d’entraînement lundi. Depuis Fidel a passé les tests de jauge et de sécurité. Il lui reste trois jours pour prendre son bateau en main. Mais le navigateur cantabre reste confiant : « j’ai pu tester le bateau, les premières sensations sont bonnes ». Parfois l’envie peut renverser des montagnes.

Nacho Postigo a, lui aussi, fait preuve d’une détermination peu commune. Victime d’un talonnage alors qu’il était remorqué pour sortir du port de Douarnenez, il a dû supporter les batailles d’experts autour de sa quille endommagée, obtenir l’autorisation de convoyer son bateau par la route jusqu’au Portugal, faire refaire une quille neuve, convoyer de nouveau son bateau sur remorque jusqu’à Portimao dans le sud du Portugal, pour enfin prendre la mer et amener Vamos Vamos à bon port.


Anna Corbella, le conseil bienveillant

Si les navigateurs espagnols ont connu des fortunes diverses dans cette première étape, ils savent aussi qu’ils peuvent compter sur les conseil d’Anna Corbella, déjà engagée par deux fois sur la Barcelona World Race qu’elle a terminée en 3e position lors de la dernière édition. Anna a, elle aussi, débuté par la Mini Transat où elle avait pu bénéficier des conseils de Jaume Mumbru.
Aujourd’hui, elle coache un groupe de navigateurs espagnols à partir de la nouvelle base Mini de Barcelone.
« Ma première tâche, plutôt que de leur dire ce qu’il faut faire est de les orienter vers les erreurs à éviter. Par exemple, je monte avec eux, un programme de courses dont les difficultés sont progressives. Inutile de débuter par un Mini-Fastnet qui est sûrement une des courses les plus exigeantes d’avant-saison. La Mini Transat îles de Guadeloupe, c’est pour tous ces coureurs espagnols l’occasion d’appréhender un projet dans sa globalité. Je suis là pour les guider, pour les aider, en aucun cas pour les fixer dans un moule. C’est la plus belle des courses, il faut qu’ils puissent la vivre à fond ».



Fidel Turienzo P 304 Satanas © Jacques Vapilllon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Fidel Turienzo P 304 Satanas © Jacques Vapilllon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

Fidel Turienzo P 304 Satanas © Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Fidel Turienzo P 304 Satanas © Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

Nacho Postigo S 860 Vamos Vamos © Jesús Renedo
Anna Corbella à bord du 657 de Guillermo Cañardo © Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015



CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 64 concurrents encore en course pour la 2e étape
- 26 Mini 6.50 prototypes (classement Eurovia Cegelec) et 46 Mini 6.50 de série (Classement Ocean Bio-Actif)
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Douanenez -> Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Doaurnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre
- Au total, les marins passeront 28 jours / 4 semaines de mer en solitaire

LIGA MARITIMA
Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015