domingo, 29 de noviembre de 2015

RECORDATORIO - CONFERENCIA EN EL ATENEO DE MADRID

Recordamos a nuestros consocios, que hay día 30 de Noviembre, se celebra en el Ateneo de Madrid, la conferencia que cada mes organiza nuestro amigo (socio honorífico), Juan Manuel Gracia Menocal. 

En esta ocasión, la Agrupaciónn El Mar y sus Ciencias, Antonio Ulloa, Cátedra Méndez Núñez, nos ofrecerá un tema de rabiosa actualidad, "El estado Islámico: Situación en Siria e Irak". 

Es a las 19.00 en la calle del Prado, 21 de Madrid.

viernes, 27 de noviembre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - Mini Transat Îles de Guadeloupe Une remise des prix sous le signe de l’émotion



Mini Transat Îles de Guadeloupe
Une remise des prix sous le signe de l’émotion
Podium 2d étape des bateaux de série © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
Podium 2d étape des bateaux prototypes © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
On connaît l’exercice des remises de prix. Il fait partie des obligations car c’est l’occasion de célébrer officiellement les vainqueurs, de remercier tous ceux qui ont contribué à la réussite de l’événement, mettre un point final à la course. Derrière elle, il y aura bien quelques rendez-vous furtifs, un dernier verre de l’amitié, une balade programmée en petit cercle sur les plages de Guadeloupe, mais la saveur épicée de la course aura progressivement disparu.

Et pourtant, cette remise des prix a rompu les protocoles quand furent demandés sur scène, les directeurs de course François Séruzier, Jean-Jacques Quéré… et Denis Hugues. Sorti spécialement de convalescence pour venir saluer les concurrents de la Mini Transat îles de Guadeloupe, celui qui représente l’âme de la Mini Transat depuis plusieurs années a reçu une ovation spontanée transformée en de longues minutes d’applaudissements du public debout.

Passé ce moment de grâce, la Mini Transat a fêté ses vainqueurs dignement et honoré ceux qui avaient bénéficié de prix spéciaux. Un palmarès digne d’une édition exceptionnelle à de nombreux points de vue.

Deuxième étape de la Mini Transat îles de Guadeloupe
Classement Eurovia Cegelec, Prototypes : Frédéric Denis (Nautipark)
Classement Océan Bio-Actif, Séries : Julien Pulvé (Novintiss)

Classement général de la Mini Transat îles de Guadeloupe
Classement Eurovia Cegelec, Prototypes : Frédéric Denis (Nautipark)
Classement Océan Bio-Actif, Séries : Ian Lipinski (Entreprises Innovantes)

Trophée CCI îles de Guadeloupe (Douarnenez – pointe du Raz) : Frédéric Denis (Nautipark)

Trophée CCI Cornouaille (porte de Saint-François – ligne d’arrivée) : Jean-Baptiste Daramy (Chocolats Paries – Coriolis Composites)

Trophée CLS de la Combativité (le plus de milles parcourus) : Dominik Lenk (dominiklenk.com)

Trophée Air Caraïbes (meilleure performance sur 24h) :
Prototypes : Frédéric Denis (Nautipark) : 295,57 milles
Séries : Julien Pulvé (Novintiss) : 278,77 milles


Ils ont dit :

Bertrand Nardin, Président de Douarnenez Courses :

« Tout d'abord je dois excuser le sénateur maire de Douarnenez qui n’a pas pu rester parmi nous jusqu'à aujourd'hui mais qui me prie de vous transmettre ses amicales et sportives salutations. Quand la Classe Mini nous a confié l’organisation de la Mini Transat, nous savions que sa réussite passerait par l’établissement de liens de partenariats forts avec le lieu d’arrivée de la course. Nous avons trouvé ici, en Guadeloupe, des oreilles attentives et surtout une volonté de bien faire les choses et je citerai la Ville de Pointe-à-Pitre, Cap Excellence, la Chambre de commerce de Guadeloupe, le CTIG et la Région Guadeloupe comme partenaire majeur de l’épreuve.
Cette volonté amorcée dès 2013 a trouvé sa confirmation sur cette édition 2015, nous permettant de populariser la course auprès des Guadeloupéens, de développer les échanges économiques et culturels, mais aussi de réserver le meilleur accueil aux coureurs qui ont su l'apprécier. Je n’aurai qu’un mot pour finir, que Vive la Mini Transat îles de Guadeloupe et rendez-vous au Nautic dans 8 jours pour la remise des prix finale. »

Jacques Bangou, Maire de Pointe-à-Pitre

« Nous avons l’habitude de la Route du Rhum, avec la Mini Transat, nous découvrons une autre proximité, d’autres moyens. Nous sommes fiers que la Région Guadeloupe nous ait rejoints pour cette édition 2015. Ça signifie qu’il y a d’abord eu la réponse du cœur qui fut celle de la ville de Pointe-à-Pitre en 2013, il y a maintenant celle de la raison avec l’engagement de la Région Guadeloupe. C’est la volonté d’associer l’ensemble du tissu économique et sportif à l’événement qui nous guide maintenant. Ensemble nous allons nous nourrir les uns des autres : à Douarnenez, nous avons apprécié votre capacité à mobiliser des bénévoles autour de l’événement, j’espère que vous aurez apprécié notre sens de l’accueil et de la convivialité… Nous sommes prêts à vous accueillir encore en 2017. »


Renaud Mary, Président de la Classe Mini

« Merci à Douarnenez Courses et toute l’équipe d’organisation qui a fait un superbe travail pour l’organisation de cette Mini Transat îles de Guadeloupe. Ce fut une édition de toute beauté. Merci à la Ville de Pointe-à-Pitre et aux îles de Guadeloupe qui nous ont fait profiter de leur accueil. Merci à la direction de course qui a su s’adapter aux nouvelles circonstances, ainsi qu’aux bateaux accompagnateurs et au corps arbitral. Enfin, je tiens à vous dire à tous, skippeurs et skippeuses, un immense bravo parce que vous avez réalisé une édition exceptionnelle dont on parlera longtemps. »

Alix Nabajoth, Vice-Président de la Région Guadeloupe

« Nous savons que l’avenir de la Mini Transat îles de Guadeloupe passe par l’appel de candidatures dont nous aurons la réponse d’ici peu. D’ores et déjà, le Président de la Région Guadeloupe s’est engagé pour approfondir le partenariat avec la Ville de Douarnenez pour 2017 et 2019. Nous avons tissé des liens, au delà de la course, notamment en organisant des échanges entre entreprises bretonnes et guadeloupéennes. Nous avons été partenaires de Douarnenez Courses en tant que collectivité, nous avons réussi cette édition 2015, nous avons un savoir-faire et nous sommes prêts à accueillir encore la Mini Transat pour donner encore un peu plus de visibilité à la Région Guadeloupe. Bon vent à cette édition 2015, en espérant que le vote de la Classe Mini nous permettra de continuer le travail engagé en 2017 et 2019.
»

Trophée Air Caraïbes © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
Ian Lipinski et Frédéric Denis © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe


CHIFFRES CLES MINI TRANSAT ILES DE GUADELOUPE 2015
  • Le + rapide sur 24 heures : Fred Denis en proto = 295,57 mn soit 12,3 noeuds de moyenne
  • En série RECORD battu pour Julien Pulvé = 278,7 mn soit 11,6 noeuds de moyenne
  • Le + de milles parcourus : Dominik Lenk 3477,28 milles (deuxième étape)
  • Le - de milles parcours : Yuri Firsov 2917,24 milles (deuxième étape)
  • 57 arrivés sur 72 partants

CHIFFRES ET INFOS CLES DES VAINQUEURS

FREDERIC DENIS / Vainqueur en bateau prototype / N°800 Nautipark
  • 3e de la première étape et 1er de la deuxième étape
  • Temps de course : 19j 23h 19min 55s
  • Nombre de tasses de café : 0
  • Autres boissons : eau, Orangina, Fanta, jus de citron et miel, sirop de pêche
  • Nombre de calories avalées par jour : 3298 kcal
    céréales le matin (400 kcal) + 1,5 repas lyophilisés ou appertisés (800 kcal) + 50g de fruits secs (100 kcal) + 1 tablette de chocolat (545 kcal) + 50g de M&M's (253 kcal) + 6 barres de céréales (600 kcal) + 1 sachet de charcuterie (300 kcal) + du fromage (300 kcal)
  • Nombre de kilos perdus : 6
  • Nombre de livres lus : 3,5 polars
  • Nombre de boutons sur les fesses : 2 grandes plaques rouges
  • Nombre d’heures de musique : 3h avec un casque le dernier jour pour le kiff
  • Nombre de jours sans parler à personne : 9 jours car vite loin devant les autres, sauf 30 secondes avec un cargo
  • Dernière phrase sur le livre de bord : « Que trépasse si je faiblis » Après avoir entendu le bulletin météo guadeloupéen à 35 milles de la Désirade : « Cool la Guadeloupe approche pour de bon ! »
  • Excès de fatigue : « J’ai la phobie des orages, j’ai cru qu’il y en avait alors que ce n’était surement pas le cas, je voyais des éclairs, mais je n’ai jamais entendu le tonnerre »

IAN LIPINSKI / Vainqueur en bateau de série / N°866 Entreprise(s) Innovante(s)
  • 1er de la première étape et 2e de la deuxième étape
  • Temps de course : 22j 09h 36min et 30s
  • Nombre de tasses de café : 15
  • Autres boisons : eau et eau citronnée
  • Nombre de livres lus : 1, Les Trois Mousquetaires
  • Nombre de calories avalées par jour : 1526 kcal
    1,5 repas appertisés (800 kcal) + 1 fruit (110 kcal) + 2 snickers (616 kcal)"J'ai tout jeté à l’eau 3 jours avant l’arrivée, coup de stress de perdre la tête du général, j'ai même vidé mes Pom'potes !"
  • Nombre de kilos perdus : a priori zéro...
  • Nombre de boutons sur les fesses : plus qu’une mini pellicule de peau
  • Nombre d’heures de musique : 0 sur la 1ere étape, 8 sur la 2e
  • Nombre de jours sans parler à personne : les 2 derniers jours
  • Dernière phrase sur le livre de bord, 3h avant l’arrivée : « Je viens de prendre un grain, je suis parti au tas, je suis à bout physiquement, nerveusement, … et j’ai perdu. »
  • Excès de fatigue : « J’ai eu un réveil très difficile, j’ai eu l’impression de voir le ciel et d’être en plein air alors que j’étais au fond de mon bateau. Je croyais qu’il y avait du monde sur le pont à la manoeuvre et je me demandais ce qu’ils faisaient. »


Classement de la seconde étape (Lanzarote - Pointe-à-Pitre) de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015


Bateaux prototypes - Classement Eurovia Cegelec
1. Frédéric DENIS n°800 Nautipark arrivé le 13/11/2015 en 12j 19h 02min 30s
2. Michele ZAMBELLI n°788 Illumia arrivé le 13/11/2015 en 13j 08h 42min 49s
3. Luke BERRY n°753 Association Rêves arrivé le 14/11/2015 en 13j 09h 08min 18s

Bateaux de série - Classement Océan Bio-Actif
1. Julien PULVE n°880 Novintiss arrivé le 15/11/2015 en 14j 10h 56min 15s
2. Ian LIPINSKI n°866 Entreprise(s) Innovante(s) arrivé le 15/11/2015 en 14j 19h 05min 06s
3. Tanguy LE TURQUAIS n°835 Terreal arrivé le 15/11/2015 en 15j 04h 40min 12s



Classement général de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

Bateaux prototypes - Classement Eurovia Cegelec

1. Frédéric DENIS n°800 Nautipark arrivé en 19j 23h 19min 55s
2. Luke BERRY n°753 Association Rêves arrivé en 20j 14h 04min 49s
3. Ludovic MECHIN n°667 Microvitae arrivé en 20j 15h 36min 16s

Bateaux de série - Classement Océan Bio-Actif
1. Ian LIPINSKI n°866 Entreprise(s) Innovante(s) arrivé en 22j 09h 36min 30s
2. Julien PULVE n°880 Novintiss arrivé en 22j 13h 09min 04s
3. Tanguy LE TURQUAIS n°835 Terreal arrivé en 23j 02h 45min 43s

jueves, 26 de noviembre de 2015

LIGA NAVAL DE VALENCIA - LA FVCV Y 46 ESCUELAS DE VELA CREAN UNA FRANQUICIA PARA CAPTAR EL TURISMO









46 escuelas de vela de la CV crearán una franquicia para captar el turismo ante el aumento de licencias


-Clausurado en Oliva el XI Congreso de Vela de la CV.
-Crece un 21% el número de licencias en las Escuelas de Vela en 2015.
-Se creará una franquicia con una marca, embarcación y programa formativo únicos.
46 escuelas de vela repartidas por todo el litoral de la Comunitat Valenciana lanzan un producto único, una marca común, una embarcación unificada y un plan para estar presente en los centros educativos de la CV y también lograr la captación del turismo. Oliva ha sido el lugar elegido por la Federación de Vela de la Comunitat Valenciana para celebrar su XI Congreso de sus Escuelas. El congreso que reúne a las 46 escuelas repartidas por todo el litoral ha sido clausurado por el Director General de Deportes de la Generalitat, Josep Miquel Moyà.
En el XI Congreso el presidente de la Federación de Vela de la CV, José Martínez David ha reclamado “reconocimiento y apoyo, no dinero, porque en esta época eso ya no toca” y el alcalde de Oliva, David González, ha resaltado la condición marítima de la ciudad anfitriona. Oliva, de hecho, duplicará sus actividades náuticas en el año 2016, en palabras de los responsables de deportes del municipio.

Las Escuelas de Vela de la CV es una red de escuelas homologadas creada por la FVCV para atender a las demandas de formación de sus 4.000 federados pero, sobre todo, para formar a todos aquellos que –sin formar parte de la federación- quieran desarrollar en el mar sus ambiciones deportivas y de ocio.
Las Escuelas de Vela han decidido en esta reunión –con más de 200 participantes- unificar su producto, crear una marca única, homologar tarifas y crear una embarcación común para todos los centros, un proyecto que han denominado “la embarcación perfecta”. Al mismo tiempo enfocarán su expansión hacia el ámbito turístico para ofrecer un producto atractivo para los millones de personas que cada año eligen el litoral valenciano como destino turístico.
Los centros de esta red ofrecen multitud de actividades además de los cursos de formación en el manejo de embarcaciones de vela ligera. Las escuelas, en función de si están ubicadas en clubes náuticos o en la playa, añaden a su oferta de productos el windsurf, kitesurf y otras  especialidades de la “vela de acción”, un ámbito en el que la Federación de Vela de la CV está ampliando su actividad.
En el Congreso también se ha incidido en la necesidad de proteger la condición pública de los 52 clubes náuticos de la CV involucrados en la actualidad en la polémica por la decisión de la Generalitat de sacar a concurso público la gestión de los clubes cuya concesión administrativa ya ha caducado.
El gerente de la FVCV Miguel Sánchez afirmó que están  “amenazados por la actual Administración que pretende privatizar estos ámbitos que tienen una gran función social en materia de promoción del deporte y vertebración ciudadana”.

FUENTE: FEDERACIÓN DE VELA COMUNIDAD VALENCIANA - EVCV

LIGA NAVAL DE VALENCIA
AESLIN - FELAN

lunes, 23 de noviembre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - Mini Transat Îles de Guadeloupe Reçus à l'examen

Newsletter
Lundi 22 novembre 2015


Mini Transat Îles de Guadeloupe
Reçus à l'examen


  • Yuri Firsov (Magnum 650) clôt les arrivées de la Mini Transat îles de Guadeloupe
  • 57 concurrents sur les 72 partants à l’arrivée
  • Remise des prix jeudi 26 novembre

Cette fois-ci, c’est bien fini. Après l’arrivée de Yuri Firsov, dernier concurrent à être encore en mer, la Mini Transat îles de Guadeloupe a tiré le rideau. Bien sûr, il y aura encore quelques belles rencontres en coulisses, des histoires à se raconter pour la nième fois, des déceptions à digérer, des victoires à savourer, mais la Mini Transat 2015 a bel et bien quitté le devant de la scène… en attendant 2017.

© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe

La nuit tombe vite aux Antilles. Or, c’est un réflexe presque conditionné chez les marins : dès l’heure du coucher du soleil, il faut se rassembler en tribu et comme le faisait les anciens autour du feu, se raconter de belles histoires riches d’enseignements. Le visiteur non averti serait surpris de devoir recenser le nombre de départs en vrac, de casses de matériel, de voiles déchirées. A croire que le quotidien de ces marins s’est limité à ces instants intenses où la peur et l’excitation se mélangent…

Records battus
Quoi qu’il en soit, cette Mini Transat îles de Guadeloupe sera celle de bien des records. Record de vitesse tout d’abord. Jusqu’ici le plus rapide sur un trajet équivalent avait été Sébastien Magnen en 1999, qui avait rallié la Guadeloupe depuis Concarneau en 24 jours et 15 heures. A titre de comparaison, Frédéric Denis a parcouru les 4020 milles qui séparent Douarnenez de Pointe-à-Pitre en 19 jours et 23 heures. Soit une moyenne de 8,40 nœuds sur l’ensemble du parcours. Sébastien Magnen était crédité en 1999 d’une vitesse de 6,80 nœuds et le plus rapide sur la Mini Transat était jusqu’ici Yves Le Blévec qui avait rallié Salvador de Bahia depuis La Rochelle à la vitesse moyenne de 7,55 nœuds.
Autre record battu, celui des 24 heures pour les bateaux de série. A bord de son Ofcet, Novintiss, Julien Pulvé a battu le précédent record de Xavier Macaire (272,6 milles) en se rapprochant de la barre des 280 milles avec 278,7 milles. Soit une moyenne de 11,6 nœuds de point à point. Dans ce domaine, il est évident que l’apparition des Ofcet et des Pogo 3 marque une vraie rupture par rapport aux anciens bateaux de série. Leurs carènes puissantes inspirées de la démarche initiée par David Raison sur son Magnum en proto font merveille dès que le vent monte. La belle résistance incarnée par Tanguy Le Turquais (Terréal) sur son Argo ou Edouard Golbery (Les Enfants du Canal) sur son Pogo 2 ne doivent pas masquer qu’il sera de plus en plus compliqué de faire un résultat si l’on ne dispose pas de ces nouveaux bateaux de série aux épaules large et au nez camus.
Dernier chiffre significatif : seuls deux marins ont eu besoin d’une assistance extérieure suite à une avarie, Gilles Avril dans la première étape et Radek Kowalczyk dans la deuxième. Tous les autres marins ont réussi à rallier un port par leurs propres moyens. A l’appel de détresse du navigateur polonais, Sébastien Pébelier a immédiatement fait demi-tour, est reparti au près sur la position de Calbud qui menaçait de couler avant de rester aux côtés de son collègue le temps que d’autres secours se mettent en place. Logiquement, le jury devrait lui accorder une bonification en temps, à laquelle il prévoit de rajouter une heure pour la spontanéité et la rapidité avec lesquelles le skipper de Mademoiselle Iodée a réagi.

Allo maman bobo
Mais la Mini Transat, ce n’est pas qu’une affaire de performance. Pour traverser l’Atlantique à ces vitesses sur un voilier de 6,50m, il faut aussi savoir en passer par un inconfort permanent, une humidité persistante, des coups et blessures qui heureusement sont souvent anodins, mais témoignent aussi de la rudesse des conditions de vie à bord. Ainsi, les premières heures de la journée quand le soleil est encore à l’est et qu’il tape directement sur l’arrière du bateau. Dans ces conditions, il faut choisir entre Charybde et Scylla, rester sur le pont avec le maximum de protections pour ne pas risquer l’insolation ou partir se réfugier à l’ombre, dans un intérieur qui se transforme rapidement en étuve. Les petites plaies tendent à s’infecter et se creuser rapidement au contact de l’eau de mer, les mains des marins en témoignent. Disposer d’un produit désinfectant et d’un cicatrisant fera dorénavant partie de la pharmacie de plusieurs des solitaires qui en ont fait l’expérience… sans compter le morceau de sparadrap que l’on peine à ouvrir avec l’humidité et qui se replie sur lui-même avant qu’on ait pu l’appliquer. Le cou, les poignets, les chevilles sont particulièrement exposés aux irritations. Enfin, barrer assis dans l’humidité permanente n’est pas la meilleure des thérapies pour conserver un fessier de bébé. Il n’y a pas de solution idéale, même si des coussins adaptés permettent de circonvenir en partie le mal. Mais nombre de coureurs avouaient ne plus vraiment pouvoir s’asseoir par instants. La meilleure des solutions étant encore de naviguer debout, nu comme un ver, les deux mains accrochées au sommet du roof tout en confiant la barre au pilote. Ces petites misères du quotidien peuvent paraître futiles au regard des performances des marins, mais elles sont aussi un facteur supplémentaire de fatigue, elles influent sur le moral du navigateur. Comment s’étonner après ça qu’il faille passer par un sas de décompression avant de reprendre une vie « normale » ? A Pointe-à-Pitre, les Ministes reprennent pied petit à petit. Mardi prochain, Carl Chipotel invitera toute la communauté de la Mini Transat îles de Guadeloupe, chez lui à Sainte-Anne pour une journée à la guadeloupéenne, histoire de clore en beauté l’histoire commencée près de deux mois plus tôt sur les quais du Port Rhu de Douarnenez.


Classement général avant jury de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

Bateaux prototypes - Classement Eurovia Cegelec

1. Frédéric DENIS n°800 Nautipark arrivé en 19j 23h 19min 55s
2. Luke BERRY n°753 Association Rêves arrivé en 20j 14h 04min 49s
3. Ludovic MECHIN n°667 Microvitae arrivé en 20j 15h 36min 16s

Bateaux de série - Classement Océan Bio-Actif
1. Ian LIPINSKI n°866 Entreprise(s) Innovante(s) arrivé en 22j 09h 36min 30s
2. Julien PULVE n°880 Novintiss arrivé en 22j 13h 09min 04s
3. Tanguy LE TURQUAIS n°835 Terreal arrivé en 23j 02h 45min 43s



Retrouvez les classements de la deuxième étape ainsi que le classement général provisoire sur :
www.minitransat-ilesdeguadeloupe.fr/classement



© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe
© Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe

domingo, 22 de noviembre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - TÁMARA Y BERTA, SEXTAS EN EL MUNDIAL DE ARGENTINA

TÁMARA Y BERTA, SEXTAS EN EL MUNDIAL DE ARGENTINA


Las regatistas Movistar finalizan con muy buenas sensaciones un Mundial de lo más disputado en el que han estado luchando hasta el final en los puestos altos de la tabla
 

San Isidro, Buenos Aires (Argentina), 22 de noviembre de 2015

 

Tras seis intensas jornadas de competición en aguas de San Isidro, el Mundial de las clases 49er y FX ponía ayer sábado el broche final con las regatistas Movistar Támara Echegoyen y Berta Betanzos en la sexta posición de la general definitiva. Las españolas, que han luchado en la cabeza de la flota desde la primera jornada de campeonato, finalizan así con muy buen sabor de boca un campeonato que ha estado abierto hasta la última prueba, y es que las diferencias entre las primeras tripulaciones han sido mínimas con hasta siete equipos luchando por el podio en la Medal Race.

Támara Echegoyen: “Tener la posibilidad de luchar por un podio mundial significa que hemos hecho un gran avance”
Con la disputa de la última jornada de Mundial en aguas de San Isidro, el Mundial de 49er FX se ha resuelto con un total de 15 pruebas clasificatorias y una definitiva Medal Race en las que el altísimo nivel de la flota de skiff femenino ha obligado a las 44 tripulaciones a dar su cien por cien desde la primera jornada de campeonato.

Ayer sábado, las regatistas Movistar Támara Echegoyen y Berta Betanzos afrontaban la jornada final desde la séptima posición de la general y con las tres últimas pruebas de las series finales todavía por disputarse además de la definitiva Medal Race. El tándem gallego-cántabro sabía que sus competidoras no se lo iban a poner nada fácil, pero ambas tenían claro que saldrían al agua dispuestas a dar lo mejor de sí para luchar por finalizar lo más arriba posible en la clasificación final.

Finalmente, a las 14:00 hora local y con unas condiciones de viento de unos 12 nudos que fueron en ascenso durante la tarde, la flota se echaba al agua para disputar tres pruebas previas a la Gran Final en las que Támara y Berta se anotaban unos parciales 22-5-16. Con estos resultados, las regatistas Movistar accedían a la Medal Race dentro del top ten de la flota y finalizaban el Mundial anotándose un brillante quinto puesto, parcial que las situaba definitivamente en la sexta posición de la general a diez puntos del podio.

Por delante, el título intercontinental se lo han llevado las italianas Giulia Conti y Francesca Clapcich con sólo dos puntos de ventaja sobre las brasileñas Martine Soffiatti Grael y Kahena Kunze, que finalizaban segundas. El bronce en esta ocasión ha sido para las danesas Ida Marie Baad Nielsen y Marie Thusgaard.

Una vez en tierra, Echegoyen hacía balance: “La valoración del campeonato es muy positiva. Creo que tener la posibilidad de luchar por estar en un podio mundial significa que hemos hecho un gran avance. Somos conscientes de que nos queda limar algunos aspectos para que en el próximo campeonato podamos estar firmes en la lucha por ese podio, pero estamos realmente contentas con el trabajo que estamos haciendo todo el equipo y con la mejora sobre todo en condiciones de poco viento, que hasta ahora era nuestro punto débil”.

Así las cosas, la campeona olímpica de Match Race Femenino y la campeona del mundo de 470 finalizan un Mundial en el que han dejado claro su altísimo nivel, y es que las españolas han estado delante desde la primera jornada e incluso han llegado a liderar la flota. Por delante, las representantes del Equipo Movistar todavía cuentan con ocho meses antes de la celebración de los Juegos Olímpicos de Río 2016 y no cabe la menor duda de que Támara y Berta continuarán trabajando con el objetivo de llegar lo mejor preparadas posible. “Ahora tenemos ganas de seguir trabajando para dar lo mejor de nosotras en el siguiente campeonato”, sentenciaba la patrona gallega.

Por su parte, en la categoría de 49er Masculino, Carlos Robles y Dani Cánovas finalizaban el campeonato en la 52ª posición de la general al no haber disputado el grupo plata ninguna prueba en la jornada final. Por delante, la victoria en esta categoría se la llevaban los neozelandeses Peter Burling y Blair Tuke, seguidos de los australianos Nathan Outteridge y Iain Jensen en la segunda posición y de los españoles Federico y Arturo Alonso con el bronce final.

Clasificación general FINAL. Mundial 49erFX.
1. Giulia Conti/Francesca Clapcich (ITA), 4+6+3+1+2+1+5+(7)+(15)+7+10+6+8+4+8+2=67
2. Martine Grael/Kahena Kunze (BRA), 9+4+2+5+(14)+4+8+2+1+4+1+(14)+7+6+12+4=69
3. Ida Marie Nielsen/ Marie T. Olsen (DEN), 1+1+1+5+(10)+1+1+1+(19)+10+2+13+13+16+11+8=84

6. Támara Echegoyen/Berta Betanzos (MOVISTAR, ESP), 1+5+7+(10)+1+5+3+4+7+5+13+12+(22)+5+16+10=94
… hasta 44 clasificadas

Clasificación general FINAL. Mundial 49er.
1. Peter Burling/Blair Tuke (NZL), 1+(18)+1+4+5+1+1+8+2+(15)+9+1+13+8+8+8=70
2. Nathan Outteridge/Iain Jensen (AUS), 10+5+(UFD)+7+17+27+2+2+(17)+9+6+2+2+1+4+10=104
3. Federico Alonso/Arturo Alonso (ESP), 8+4+4+9+4+8+(13)+1+1+6+2+4+20+20+(24)+16=107

52. Carlos Robles/Daniel Cánovas (MOVISTAR, ESP), 20+13+8+26+(27)+24+24+23+28+22+(UFD)+1=189
… hasta 61 clasificados

jueves, 19 de noviembre de 2015

LIGA MARÍTIMA ESPAÑOLA - TÁMARA ECHEGOYEN Y BERTA BETANZOS ASALTAN EL PODIO MUNDIAL


Comenzaron sextas, luego fueron quintas y las regatistas Movistar ya son terceras en Argentina. A partir de hoy comienzan las series finales de un Mundial que terminará en la madrugada del sábado para el domingo.
 

San Isidro, Buenos Aires (Argentina), 19 de noviembre de 2015

 
El Mundial de 49er y 49erFX que se está disputando en Buenos Aires (Argentina) alcanzaba su Ecuador con la jornada que finalizaba esta madrugada en España. Desde hoy jueves y hasta el sábado, último día, es el turno de las series finales con la flota dividida en dos grupos: oro y plata. Continúa la progresión ascendente de las deportistas Movistar Támara Echegoyen y Berta Betanzos, que ya son terceras. Sus compañeros de equipo Carlos Robles y Dani Cánovas competirán a partir de hoy en el grupo plata de 49er.

Támara y Berta, de menos a más
La flota femenina completaba ayer tres regatas más que ponían punto y final a la fase clasificatoria. Támara y Berta, un día más, supieron mantener su regularidad con unos parciales 5-3-4 con los que han subido dos puestos en la general.

No obstante, con tres días más de regatas por delante el tándem gallego-cántabro no podrá despistarse ya que las cuartas, las danesas Jena Mai Hansen y Katja Salskov-Iversen las siguen muy de cerca a sólo dos puntos.

Es digno de destacar el papel que las tripulaciones de Dinamarca están realizando en este Mundial, con tres de ellas entre las cinco primeras. Y especialmente a Ida Nielsen y Marie Olsen que, al igual que el primer día, siguen en lo más alto de la tabla con tres victorias en las tres regatas de hoy. Las danesas, actuales subcampeonas del mundo, tienen un claro objetivo: no perder el título que en el Mundial del pasado año se les escapó en la última regata, la Medal Race. Por el momento, han abierto un colchón de 11 puntos sobre las segundas clasificadas, las italianas Giulia Conti y Francesca Clapcich (bronce en 2014).

Hoy jueves, está previsto que las flota oro masculina y femenina completen un máximo de tres regatas que comenzarán a partir de las 17:00 hora española.

Clasificación general provisional. Mundial 49erFX. Día 3.

1. Ida Marie Nielsen/ Marie T. Olsen (DEN), 1+1+1+5+(10)+1+1+1=11
2. Giulia Conti/Francesca Clapcich (ITA), 4+6+3+1+2+1+5+(7)=22
3. Támara Echegoyen/Berta Betanzos (MOVISTAR, ESP), 1+5+7+(10)+1+5+3+4=26
… hasta 44 clasificadas

Clasificación general provisional. Mundial 49er. Día 3.
1. Peter Burling/Blair Tuke (NZL), 1+(18)+1+4+5+1+1+8=21
2. Federico Alonso/Arturo Alonso (ESP), 8+4+4+9+4+8+(13)+1=38
3. Erik Heil/Thomas Ploessel (GER), 7+3+(14)+1+9+1+11+10=42

51. Carlos Robles/Daniel Cánovas (MOVISTAR, ESP), 20+13+8+26+(27)+24+24+23=138
… hasta 61 clasificados

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lunes, 16 de noviembre de 2015

LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - Mini Transat Iles de Guadeloupe Cinq majeur

Lundi 16 novembre 2015
 
 
Mini Transat Iles de Guadeloupe
Cinq majeur

  • Huit séries déjà à Pointe-à-Pitre
  • Vincent Grison, dixième proto
  • Encore une dizaine de coureurs attendus dans la nuit
En rafales. Les arrivées se sont succédées hier soir à la marina Bas-du-Fort. Pas moins de cinq solitaires ont franchi la ligne en à peine plus d’une heure. Bien évidemment, ces accostages groupés ont quintuplé le facteur d’ambiance. Outre le plaisir des uns et des autres à s’être retrouvés après une telle bagarre, c’était l’heure des comptes d’apothicaire pour le classement général en série.


Armand de Jacquelot (We Van) © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015

Les premiers seront les derniers. La métaphore biblique était à l’honneur hier au soir, considérant les arrivées des bateaux de série. Premier à franchir la ligne, Edouard Golbery (Les Enfants du Canal) finira finalement sixième du classement général des séries, laissant les places d’honneur à Armand de Jacquelot (We Van), cinquième de l’étape et du général et Charly Fernbach (Le Fauffiffon Hénaff) qui fort de son avance de la première étape réussit à conserver la quatrième place du général, malgré sa place de septième de l’étape. Intercalé entre tous ces cadors, Edwin Thibon (Cœur Fidèle) n’en revenait pas encore de sa sixième place de l’étape.
Tous ces marins en manque de parole se retrouvaient enfin pour, une fois de plus, refaire le match. Il y en avait pour tous les goûts. De Charly, volubile entre tous, qui passait en revue ses états émotionnels à Armand de Jacquelot, profondément pragmatique et rationnel, tous avaient à cœur de revivre cette traversée de l’Atlantique exceptionnelle par sa rapidité et son intensité. Vincent Grison (Roll My Chicken) retrouvait quant à lui, la confrérie des prototypes pour échanger sur les quilles basculantes, les meilleurs gestes à faire en cas de départ à l’abattée, la conduite d’un proto dans les surfs… Bref ! S’ils ne se sont pas étripés précédemment sous une mêlée, le retour des marins à terre ressemble étrangement à la troisième mi-temps des rugbymen. Besoin terrible de faire des phrases, bourre-pif en moins, mais même esprit de solidarité, même ferveur collective, mis à part le terrain de jeu, les correspondances sont évidentes.

Eclopés ou contemplatifs ?
Les arrivées vont continuer de se succéder à Pointe-à-Pitre où l’on attend incessamment Fidel Turienzo (Satanas), mais aussi Simon Bruniholz (www.defiatlantique.ch Mini Lab), Antonio Fontes (Vela Solidaria), Arnaud Machado (Du Léman à l’Océan), Patrick Girod (Nescens), Rodolphe Victorri (Saint-Pierre et Miquelon), Olivier Taillard (Alternative Sailing – Kerhis) et Roland Ventura (Fondation Planiol). Il va falloir discerner dans ce paquet ceux qui ont dû lever le pied suite à de la casse, ceux qui se sont égarés sur des routes incertaines et ceux qui avaient estimé que le rythme imposé par les leaders était pas trop déraisonnable. Sans oublier que tous ces navigateurs en sont à leur première Mini Transat, que traverser l’Atlantique est une découverte de soi-même, de craintes qu’il faut apprendre à maîtriser. Quand on s’élance pour la première fois, c’est souvent difficile de placer les curseurs au bon endroit. Thomas Guichard (Carrefour) arrivé ce matin en Guadeloupe en huitième position sur son Pogo 2 et qui est assuré de rester dans le top 10, son objectif rêvé, l’avouait sans ambages : « il y a deux ans, j’étais venu pour traverser l’Atlantique, réaliser un rêve d’aventure. Cette année, c’était l’objectif sportif qui primait. Je suis moins resté à contempler les levers et couchers de soleil, mais qu’est-ce que c’est bon de dévaler l’Atlantique à cette vitesse… » L’appétit vient en mangeant.

Retrouvez les classements de la deuxième étape ainsi que le classement général provisoire sur :
http://xj87.mj.am/link/xj87/q8l681g/4/Zxhp4LiAV6ndLaNnP4q1nA/aHR0cDovL3d3dy5taW5pdHJhbnNhdC1pbGVzZGVndWFkZWxvdXBlLmZyL2NhcnRvZ3JhcGhpZQ

Charly Fernbach (Le Fauffiffon Henaff) © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015
Tanguy Le Turquais (Terréal) © Jacques Vapillon / Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015



CHIFFRES CLES
- 20e édition
- 72 inscrits
- 63 concurrents partants pour la 2e étape
- 15 nationalités : 1 AUS, 2 BEL, 1 CHN, 7 ESP, 1 EST, 39 FRA, 3 GBR, 3 GER, 1 IRL, 6 ITA, 2 NED, 1 POL, 1 POR, 1 RUS, 3 SUI
- 33 coureurs étrangers soit 45% de la flotte
- 39 coureurs français, soit 55% de la flotte
- 4 Femmes, 68 Hommes
- Âge moyen : 33 ans
- Le plus jeune : 22 ans au moment du départ / Quentin VLAMYNCK (FRA)
- Le doyen : 56 ans au moment du départ / Carlos LIZANCOS (ESP)
- Ils sont 52 à participer à la Mini Transat pour la première fois. 20 récidivistes dont 16 pour la 2e fois, et 4 pour la 3e fois.

LE PARCOURS
- 4020 milles = 7445 km la distance à parcourir
- 2 étapes : Lanzarote -> Pointe-à-Pitre
- 1ere étape partie de Douarnenez le 19 septembre et remportée par Davy Beaudart en prototype et Ian Lipinski en bateau de série.
- Départ 2e étape Lanzarote le 31 octobre -----> 2770 milles -----> Pointe-à-Pitre arrivée prévue le 14 novembre

Note aux rédacteurs
La Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 : Pour sa 20e édition et pour la deuxième fois consécutive, la Mini Transat revient à ses origines avec un départ de Douarnenez. Le port cornouaillais verra s’élancer la flotte des 72 solitaires le 19 septembre vers Lanzarote où les Mini 650 feront escale avant de partir le 31 octobre à l’assaut de l’Atlantique. Après un peu moins de trois semaines de mer, les navigateurs couperont la ligne d’arrivée de la Mini Transat Îles de Guadeloupe 2015 à Pointe-à-Pitre où la douceur des Caraïbes les attendra. Sur le plus petit bateau de course au large au monde, le talent de chacun des skippers saura s’exprimer sur les 2 700 milles nautiques (4 345 kilomètres) qui les séparent des Antilles. En solitaire, chaque participant devra trouver les ressources morales pour vivre cette aventure unique : une traversée de l’Atlantique dans un espace réduit et un inconfort total où seul compte le face à face avec soi-même.
Mini Transat Iles de GuadeloupE
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LIGA MARITIMA ESPAÑOLA - TÁMARA ECHEGOYEN Y BERTA BETANZOS, LISTAS PARA EL MUNDIAL DE ARGENTINA

 

 

 

 

 

 

 

© María Muiña

Las regatistas Movistar de 49er FX arrancan hoy la cita más importante de la temporada con el objetivo de estar entre los puestos de cabeza desde la primera jornada. También disputarán el Mundial en categoría masculina sus compañeros de equipo Carlos Robles y Dani Cánovas
 

San Isidro, Buenos Aires (Argentina), 16 de noviembre de 2015


Todo está preparado para que hoy lunes, día 16 de noviembre, la capital argentina dé el pistoletazo de salida para el Mundial de las clases 49er y FX. Las regatistas Movistar Támara Echegoyen y Berta Betanzos ya llevan varias semanas entrenando en el campo de regatas que pondrá en juego el título intercontinental y tienen claro que su objetivo será estar entre los puestos altos de la tabla desde la primera jornada de campeonato. Por su parte, también disputarán la cita mundial el tándem formado por Carlos Robles y Dani Cánovas en categoría masculina. Para los catalanes, el objetivo principal del campeonato será continuar con la evolución de los últimos meses y finalizar lo más arriba posible en la clasificación.

Támara y Berta, entre las favoritas
Para las regatistas Movistar Támara Echegoyen y Berta Betanzos la cita mundialista es sin duda la más importante de la temporada. A menos de un año para que se celebren los Juegos Olímpicos de Río 2016, las tripulaciones más potentes de la flota de 49er FX se concentrarán desde hoy lunes y hasta el próximo sábado en aguas de San Isidro, situado al Norte de Buenos Aires, para luchar por el título mundial y todo apunta a que será uno de los más disputados de la temporada.

En total, el tándem gallego-cántabro tendrá que enfrentarse a más de 40 tripulaciones entre las que destacan las brasileñas Martine Soffiatti Grael y Kaena Kunze, las neozelandesas Alexandra Maloney y Molly Meech y las italianas Giulia Conti y Francesa Clapcich, pero no cabe la menor duda de que las representantes del Real Club Náutico de Sanxenxo están entre las favoritas y darán su cien por cien desde la primera jornada para estar arriba y no dar opciones a sus rivales.

Por delante, las regatistas Movistar cuentan con cinco intensas jornadas de clasificación antes de la Medal Race del próximo sábado, prueba única y de valor doble que será la encargada de definir a las nuevas campeonas del mundo en la categoría de skiff femenino.

Carlos Robles y Dani Cánovas, listos para el Mundial
En categoría masculina, el Equipo Movistar estará representado por Carlos Robles y Dani Cánovas, quienes también han pasado las últimas semanas entrenando en el campo de regatas de Buenos Aires. Habituarse a las condiciones, medirse con algunos de los que serán sus rivales en la cita intercontinental y poner a punto el material ha sido en lo que más se han centrado los catalanes estas últimas jornadas previas al Mundial.

Sea como sea, hoy lunes arranca la acción en Argentina con más de 60 tripulaciones en liza y no hay duda de que Robles y Cánovas tratarán de demostrar todo su potencial para luchar por estar en el grupo oro de la flota, lo que sin duda no será nada fácil al tratarse de una de las flotas con más nivel del panorama internacional.

El comienzo de las pruebas está programado para hoy lunes a partir de las 13:00 hora local – 17:00 horas en España-.

NOTA: Debido a la diferencia horaria, el envío de la información referente a cada jornada se realizará a lo largo de la mañana siguiente a su disputa.

 

PRENSA DEPORTISTAS MOVISTAR

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